Seulement 19 sur 60 députés sont des femmes, calcule la Chambre sur son site internet .
Plus précisément, elles sont 6 sur 21 pour le groupe chrétien social (CSV): Diane Adehm , Nancy Arendt , Martine Hansen , Françoise Hetto-Gaasch , Octavie Modert et Viviane Reding . Parfaite équité avec 5 femmes sur 10 pour le groupe socialiste (LSAP): Tess Burton , Francine Closener , Simone Asselborn-Bintz , Lydia Mutsch et Cécille Hemmen .
Elles sont 3 sur 12 pour le groupe libéral (DP): Simone Beissel , Lydie Polfer et Carole Hartmann . Et 5 sur 9 pour le groupe déi Gréng: Josée Lorsché , Djuna Bernard , Stéphanie Empain , Semiray Ahmedova et Chantal Gary .
Alors qu’aucune femme ne représente les sensibilités politiques déi Lénk, ADR et Piratepartei à la Chambre. Mais, en vertu du principe de rotation prévu par déi Lénk, deux femmes (Nathalie Oberweis et Myriam Cecchetti) devraient remplacer à mi-mandat (ce qui est prévu pour le printemps) David Wagner et Marc Baum .
8 commissions sur 28
Et quelle place ont-elles à la Chambre? Deux femmes représentent leur groupe parlementaire au sein de la Conférence des présidents: Martine Hansen pour le CSV, et Josée Lorsché pour déi Gréng. Djuna Bernard, la plus jeune parlementaire de la législature, est vice-présidente de la Chambre des députés.
Sur les 28 commissions parlementaires, 8 sont présidées par des femmes: la commission de contrôle parlementaire du Service de renseignement de l’État (Martine Hansen), la commission des pétitions (Nancy Arendt), la commission de l’agriculture, de la viticulture et du développement durable (Tess Burton), la commission des classes moyennes et du tourisme (Simone Beissel), la commission de la sécurité intérieure et de la défense (Stéphanie Empain), la commission de la culture (Djuna Bernard), la commission du contrôle de l’exécution budgétaire (Diane Adehm), et la commission du Logement (Semiray Ahmedova).