Quatre projets de loi conçus dans le cadre de la gestion de la crise du Covid-19 étaient soumis au vote des députés mercredi après-midi.
Un seul a été approuvé à l’unanimité, signe que le débat parlementaire est de retour. Et que la concorde politique observée au début de la crise cède la place au positionnement politique de chaque formation. À l’instar des discussions animées .
La séance de mercredi a donc permis de traiter du qui doit permettre à l’État de conclure des contrats de trois mois (du 25 mai au 15 juillet) avec des étudiants qui sont nécessaires pour les besoins de l’accueil des élèves dans le cadre de la mise en œuvre du plan de prise en charge en alternance des élèves.
Le projet de loi a été adopté avec 36 «oui» (DP, LSAP, Déi Gréng, Déi Lénk, Piraten); 4 «non» (ADR) et 21 abstentions (CSV).
prévoit d’aménager les dispositifs de formation et d’évaluation de certains agents de l’Éducation nationale en période de stage ou en période d’initiation pour que les épreuves puissent «être préparées et passées dans des conditions conformes à celles attendues en temps normal».
Le projet de loi a été adopté avec 34 «oui» (DP, LSAP, Déi Gréng, Piraten) et 26 abstentions (CSV, ADR, Déi Lénk).
prévoit notamment d’accélérer et faciliter le processus de recrutement du personnel supplémentaire nécessaire en faisant appel aux chargés de cours durant .
Le projet de loi a été adopté avec 35 «oui» (DP, LSAP, Déi Gréng, Déi Lénk, Piraten); 21 abstentions (CSV) et 4 «non» (ADR).
Seul projet de loi adopté à l’unanimité,«a pour objectif d’introduire un certain nombre de dérogations par rapport au droit du travail, afin d’assurer la continuité temporaire de certaines mesures exceptionnelles prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie», .