S’il s’attendait à ce que restaurants et cafés restent encore fermés, à l’instar de ce qui se passe dans les pays voisins, tablait sur une réouverture aux alentours du 15 ou du 20 janvier. Ce qui le rend «furieux», c’est dès la semaine prochaine. Le secrétaire général de la fédération Horesca se défend de toute jalousie, mais estime qu’il est contradictoire d’affirmer vouloir réduire les contaminations d’un côté, et d’alléger les contraintes sur ces secteurs d’un autre.
Une colère traduite ensuite dans un communiqué de la fédération.
François Koepp se dit également scandalisé que le gouvernement puisse dire qu’il est dangereux d’aller au restaurant, «alors que, depuis que la crise est là, on a investi et fait plus que tous les autres secteurs pour protéger nos clients». Il réclame de savoir sur quels chiffres celui-ci se base pour discriminer autant le secteur de l’horeca.
La réouverture? Fataliste, M. Koepp ne l’attend pas avant le 15 février, désormais.