Si de nombreuses entreprises invitent leurs employés à éviter les transports publics pour lutter contre la pandémie de Covid-19, ce n’est pas toujours possible. Petit à petit, les transports en commun, gratuits depuis début mars, remontent en charge.
Et leur désinfection avec, indique le ministre de la Mobilité, , dans une réponse à une question parlementaire de (CSV).
Au niveau des trains, les compartiments sont désinfectés régulièrement et de fond en comble une fois par semaine. Toute rame qui aurait transporté un passager infecté subirait cette désinfection directement.
Toutes les rames qui doivent passer par la maintenance sont aussi désinfectées avant de s’y rendre. Tous les postes de conduite aussi, lors de leurs passages plus longs dans certaines gares comme celle de Luxembourg, ou de Pétange. Le personnel des CFL a à sa disposition des produits d’hygiène nécessaires.
Même principe pour les bus, qui sont désinfectés plusieurs fois par jour pour toutes les pièces sur lesquels les clients s’appuient, et une fois par semaine intégralement. Les chauffeurs ont aussi tout le matériel utile pour nettoyer leur poste de conduite.
Une fois par jour ouvrable, les gares sont aussi complètement nettoyées. Les agents de propreté ne sont plus en groupe mais seuls, et doivent respecter les précautions d’usage vis-à-vis des clients.
Les rames du tram sont nettoyées toutes les nuits. À chaque tournée, le conducteur s’assure que ses rames soient propres.
