Le patron de Facebook, une image animée par une intelligence artificielle à la voix imitée par une autre intelligence artificielle. L’ère du «deepfake» a commencé. (Photo: Capture d’écran Youtube)

Le patron de Facebook, une image animée par une intelligence artificielle à la voix imitée par une autre intelligence artificielle. L’ère du «deepfake» a commencé. (Photo: Capture d’écran Youtube)

Mark Zuckerberg a été pris à son propre piège: une vidéo circule sur Instagram, entièrement réalisée avec l’intelligence artificielle. Mais comme le patron de Facebook avait indiqué ne pas vouloir retirer celle de Nancy Pelosi, la sienne devrait rester visible aussi...

Le faux est en passe d’atteindre un niveau de réalité qui le dépasse. Le dernier exemple fait du bruit bien au-delà des États-Unis.

Dans un post sur le réseau social de partage de photos et de courtes vidéos, le patron de Facebook semble se féliciter du pouvoir tiré de l’utilisation des données de ses utilisateurs. Sauf que ni l’image ni le son ne sont réels, .

Problème, comme le patron de Facebook avait refusé de retirer la vidéo semblant montrer une Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants, ivre, Mark Zuckerberg peut tout à coup difficilement retirer la sienne du réseau qui lui appartient.

À lire également,  de l’Université de Toronto dans le New York Times.