C’est le journaliste Thomas Rogers qui signe l’article intitulé «Vicky Krieps Gave Hollywood One More Try. It Wasn’t So Bad», paru dans le New York Times le week-end dernier et .

Après sa première expérience américaine – qui fut un succès – dans le film «Phantom Thread», de Paul Thomas Anderson, aux côtés de Daniel Day-Lewis, Vicky Krieps s’était volontairement détournée du cinéma hollywoodien, refusant notamment de participer à une grosse production, pour mieux se concentrer sur le cinéma d’auteur européen, français et allemand en particulier.

Mais sa présence au dernier Festival de Cannes n’est pas passée inaperçue avec «Bergman Island», de Mia Hansen-Løve, qui lui a valu une «standing ovation» à l’issue de la projection, et «Serre-moi fort», de Mathieu Amalric.

Actuellement, c’est grâce à sa participation dans le film «Old», de Night Shyamalan, sorti aux États-Unis le 23 juillet dernier, que l’actrice attire l’attention de la presse américaine. Elle y incarne une mère de famille qui, avec son mari et ses deux enfants, se retrouve prise au piège au cours de vacances sur une mystérieuse plage qui les fait tous vieillir de manière accélérée et totalement inexplicable.

L’occasion pour le journaliste de dresser un portrait de l’actrice, et ainsi de mieux la faire connaître outre-Atlantique. On y lit également que Vicky Krieps vient d’achever «Corsage», un biopic en allemand sur l’impératrice Elisabeth d’Autriche réalisé par Marie Kreutzer, et qu’elle sera prochainement à l’affiche des «Trois Mousquetaires» de Martin Bourboulon. Il est également possible de la voir actuellement dans «Beckett», aux côtés de John David Washington, disponible sur Netflix.