«De nombreux bénéfices sont attendus grâce à cet accord, notamment l’amélioration de la qualité de vie des travailleurs transfrontaliers et de leurs proches. La fiscalité ne peut être un frein à leur épanouissement», a notamment réagi Alexander De Croo, ministre des Finances belge. (Photo: Shutterstock)

«De nombreux bénéfices sont attendus grâce à cet accord, notamment l’amélioration de la qualité de vie des travailleurs transfrontaliers et de leurs proches. La fiscalité ne peut être un frein à leur épanouissement», a notamment réagi Alexander De Croo, ministre des Finances belge. (Photo: Shutterstock)

La Belgique et le Luxembourg se sont entendus sur un accord de principe, ce week-end, pour relancer les négociations permettant de réviser la convention liant les deux pays en matière de fiscalité. Le télétravail est notamment au cœur des échanges.

Nouvelle étape pour l’augmentation du seuil de tolérance de jours de télétravail des frontaliers belges.

Les négociations vont être relancées afin de réviser la convention liant le Luxembourg et la Belgique en matière de fiscalité, et plus spécifiquement en matière d’impôts des personnes physiques, après que les deux pays se sont entendus sur un accord de principe ce samedi.

Cela portera principalement sur le nombre de jours qu’un travailleur peut prester dans l’autre pays tout en y restant taxé. L’actuelle possibilité de recours au télétravail est de 24 jours, et l’ambition est de .

«Avec cet accord, nos travailleurs pourront mieux concilier vie privée et vie professionnelle. C’est un outil important en matière de flexibilisation du travail», a souligné le Premier ministre belge Charles Michel.

L’amélioration de la mobilité entre la Belgique et le Grand-Duché, ou la «réduction du temps perdu en transport et des investissements en infrastructures routières (aménagement, entretien, surveillance)» sont également au cœur de cet accord de principe.

«De nombreux bénéfices sont attendus grâce à cet accord, notamment l’amélioration de la qualité de vie des travailleurs transfrontaliers et de leurs proches. La fiscalité ne peut être un frein à leur épanouissement», ajoute Alexander De Croo, ministre des Finances.