Paula Castro: «Améliorer la visibilité de notre entreprise, un programme de formations annuel complet, participation à des événements exclusifs et ciblés…» (Photo: DR)

Paula Castro: «Améliorer la visibilité de notre entreprise, un programme de formations annuel complet, participation à des événements exclusifs et ciblés…» (Photo: DR)

Le Paperjam Club accueille un nouveau membre: Crèche Royal Kids. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Paula Castro. – «Pour l’équipe du groupe ‘Royal Kids’, il est essentiel que chaque enfant se sente bien, en sécurité, se développe et s’épanouisse sur tous les plans. L’éducation est chez nous considérée comme une aide à la vie où chaque enfant évolue à son propre rythme et en toute liberté. Il est libre de ses mouvements et le choix des activités lui appartient. Chaque enfant est reconnu comme un être unique et compétent. Chez ‘Royal Kids’, les enfants découvrent et apprennent par le plaisir du jeu.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussée à le faire?

«Rejoindre une communauté business active au Grand-Duché. Profiter des nombreux avantages et événements organisés par le Club. Améliorer la visibilité de notre entreprise, un programme de formations annuel complet, participation à des événements exclusifs et ciblés… Rencontrer d’autres membres du Club occupant des fonctions similaires, ou bien dans le même secteur d’activité.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«‘Royal Kids’ est une crèche et foyer de jour situé à Belair, Luxembourg, qui accueille les enfants de 2 mois à 12 ans de 6h30 à 19h30. Nous sommes une équipe pluridisciplinaire et multilingue (parlant luxembourgeois, allemand, français, anglais, russe et portugais) qui travaille quotidiennement pour l’inclusion et le bien-être de vos enfants. Il est donc primordial de les faire évoluer dans une structure sécurisante et professionnelle, afin de faciliter leur entrée dans l’enseignement fondamental.»