Lucienne Thommes: «Le Paperjam + Delano Club, avec son réseau de compétences et de networking, permet d’échanger avec des acteurs de domaines très divers.» (Photo: Claude Piscitelli)

Lucienne Thommes: «Le Paperjam + Delano Club, avec son réseau de compétences et de networking, permet d’échanger avec des acteurs de domaines très divers.» (Photo: Claude Piscitelli)

Le Paperjam + Delano Club accueille un nouveau membre: Fondation Cancer. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

. – «La œuvre depuis plus de 25 ans dans le domaine de la lutte contre le cancer. À côté de l’information axée sur la prévention et la vie avec un cancer, une de nos missions consiste à aider les patients et leurs proches. Financer des projets de recherche sur le cancer constitue le troisième volet de nos missions. Et chaque année, nous organisons le Relais pour la Vie, un week-end de solidarité envers les patients atteints de cancer.

Vous venez de rejoindre le Paperjam + Delano Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussée à le faire?

«Le Paperjam + Delano Club, avec son réseau de compétences et de networking, permet d’échanger avec des acteurs de domaines très divers, de se former et de créer des synergies. Pouvoir s’appuyer sur l’expertise d’un tel réseau représente une opportunité très enrichissante. Car, si nous n’avons ni la même structure ni les mêmes moyens qu’une entreprise, nous travaillons tout aussi professionnellement en respectant une gestion humaine et proche de nos donateurs afin de pouvoir accomplir nos missions.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Les entreprises et leurs collaborateurs seront un jour ou l’autre confrontés au cancer. Un employé malade, un collaborateur qui décède… ce sont des moments qui ont une incidence sur tout l’écosystème de l’entreprise. Il nous tient à cœur de sensibiliser et d’accompagner les entreprises gratuitement pour gérer au mieux cette situation. Nous offrons en plus des ateliers pour informer sur les facteurs de risque de cancer et peut-être, à long terme, sauver des vies.»