Lucile Barberet pratique la course à pied depuis 10 ans avec une envie qui ne fait que croître. (Photo: DR)

Lucile Barberet pratique la course à pied depuis 10 ans avec une envie qui ne fait que croître. (Photo: DR)

Pour garder le rythme et trouver la motivation, qui ne semble pourtant pas lui manquer, Lucile Barberet court, la plupart du temps, en musique. La jeune CEO de Nyuko a accepté de partager sa playlist avec nous.

Habituée à vivre avec des écouteurs vissés dans les oreilles, la jeune génération opte souvent aussi pour des entraînements en musique. Une tendance que confirme Lucile Barberet, la jeune CEO de Nyuko: «La plupart du temps, je m’entraîne seule et en musique. Elle m’apporte de la motivation et du rythme.»

Elle admet quand même faire une exception pour les compétitions de trail où règne un esprit de camaraderie qui permet d’échanger avec ses compagnons de route. «C’est aussi l’occasion de profiter du paysage et de l’environnement sonore, par la même occasion.»

À 33 ans, Lucile compte une petite dizaine d’années de pratique de la course à pied. «J’étais un peu une joggeuse du dimanche. Je me suis fixé un premier défi de finir un 10km, et j’y ai pris goût», raconte-t-elle pour illustrer ses débuts. L’étape suivante a été celle du semi-marathon, puis du marathon, qu’elle boucle à Metz en octobre 2019.

La plupart du temps, je m’entraîne seule et en musique. Elle m’apporte de la motivation et du rythme.
Lucile Barberet

Lucile BarberetCEONyuko

Depuis, elle ne lâche rien! Elle s’entraîne de cinq à six fois par semaine et complète son programme par du renforcement musculaire. «Il faut avouer que le confinement a bien aidé à pratiquer la course. On a gagné du temps de transport, et il y avait nettement moins de voitures dans les rues de Luxembourg.»

Encore un peu, et elle en redemanderait. Non, pas sûr! Parce que le virus l’a aussi empêchée de courir les compétitions qu’elle avait pointées sur son calendrier. «En 2020, j’ai couru quelques marathons officieusement, seule dans mon coin», précise-t-elle.

Elle a notamment couru le Mullerthal Trail en trois jours d’affilée, soit un rythme de 40km par jour. Pour cette année, elle rêve du DKV Urban Trail «qui donne un bel aperçu des lieux historiques et des coins verts de la capitale».

En attendant, elle replace ses écouteurs pour faire défiler la playlist qu’elle a accepté de partager avec nous.

Cet article est issu de la newsletter Paperjam Running, le rendez-vous mensuel pour suivre l’actualité du running au Luxembourg.