Clémentine Venck modifie fréquemment ses playlists pour ne pas se lasser. (Photo: DR)

Clémentine Venck modifie fréquemment ses playlists pour ne pas se lasser. (Photo: DR)

La jeune directrice générale de Cocottes, Clémentine Venck, court de manière quasi addictive, et toujours en musique. Elle nous présente quelques-uns des morceaux qui accompagnent ses foulées.

Clémentine Venck (33 ans) est directrice générale de Cocottes, la populaire enseigne alimentaire, depuis 2017. Elle y était entrée en 2014. C’est aussi l’époque où elle a pris conscience qu’elle ne pouvait plus se passer de la course à pied et a enchaîné les entraînements.

Elle l’admet, courir a été pour elle une révélation. «Je n’étais pas du tout sportive, mais lors d’un stage à Washington au cours de mes études, j’ai suivi ma colocataire dans un de ses entraînements. J’ai trouvé ça génial alors que je n’aurais jamais imaginé pouvoir courir auparavant.»

En arrivant au Luxembourg, en 2014, elle s’y remet progressivement. Jusqu’à s’imposer cinq séances par semaine et… se blesser. Après une période d’arrêt de plusieurs mois qui lui a aussi permis de goûter à la griserie du vélo de course, elle pratique désormais l’entraînement croisé: trois sorties en running, deux à vélo.

Et plusieurs fois par an, elle accroche un dossard pour boucler un semi-marathon (21,1km). «Cette année, comme les compétitions ont été supprimées, j’en profite pour travailler ma VMA (vitesse maximale aérobie, ndlr). Je travaille avec un coach qui m’envoie des plannings, ce qui me permet de mieux m’écouter.»

Au Ban de Gasperich ou sur les sentiers de Kockelscheuer, le soir en semaine ou tôt le week-end, elle ne sort jamais sans ses écouteurs. Un besoin? «Au départ, partie de zéro, c’était surtout pour ne pas entendre mon corps qui souffrait», avoue-t-elle. «Depuis, c’est devenu une habitude, même si parfois je suis dans mes pensées et je ne fais plus trop attention aux morceaux qui s’enchaînent.»

Mais comme elle avale de nombreux kilomètres chaque semaine, les playlists doivent être longues. «Je les modifie aussi tous les deux mois environ pour ne pas me lasser.» Voici donc un extrait de sa sélection.

Cet article est issu de la newsletter Paperjam Running, le rendez-vous mensuel pour suivre l’actualité du running au Luxembourg.