Créé en 2017, Fortnite est rapidement devenu un phénomène mondial à tel point que de plus en plus d’organisations s’intéressent au jeu vidéo en ligne. Après la promotion du dernier Star Wars, avec notamment une interview en direct de J.J. Abrams, c’est la Croix-Rouge qui investit le jeu. L’association a profité du PAX South de San Antonio pour dévoiler, en partenariat avec Epic Games, un nouveau mode de jeu pour Fortnite.
Baptisé «Liferun», ce dernier propose aux 250 millions de joueurs de découvrir à travers le jeu les quatre activités principales de l’ONG (soins des civils, reconstruction d’infrastructures, déminage, aide humanitaire). «La communauté des gamers a une importance grandissante. Nous devons leur parler de manière intelligente et engageante pour leur expliquer que les civils souffrent beaucoup dans les conflits», explique Jennifer Hauseman, directrice de la communication et de la gestion de l’information au CICR.
Les fintech françaises ont le vent en poupe! Qonto, néobanque à destination des TPE et PME, vient d’annoncer avoir levé 115 millions de dollars dans un tour de table mené par le géant chinois Tencent et DST. Il s’agit d’un record pour un secteur déjà ultra-dynamique en France. Cette somme devrait permettre à la start-up d’accélérer son développement sur ses marchés actuels (France, Italie, Espagne et Allemagne) en recrutant une centaine de nouveaux employés d’ici la fin de l’année.
Fondée en 2016 et reconnue comme établissement de paiement depuis 2018, Qonto compte obtenir l’agrément bancaire d’ici la fin de l’année. L’entreprise a rapidement su concurrencer les banques traditionnelles sur le secteur des comptes professionnels. Depuis sa création, elle a séduit près de 65.000 entreprises. En 2019, le volume de transaction traité par Qonto s’élevait à 10 milliards d’euros.
Sundar Pichai, CEO d’Alphabet, a signé cette semaine une tribune dans le Financial Times, où il appelle à une régulation de l’intelligence artificielle. «Des entreprises telles que la nôtre ne peuvent pas construire de nouvelles technologies prometteuses et laisser les forces du marché décider comment elles doivent être utilisées», explique-t-il.
Le patron de la maison mère de Google plaide également pour un alignement global de ces législations, de manière à faire émerger des standards communs, tout en permettant aux entreprises de la tech de continuer à se développer. Il invite également les législateurs à faire preuve de prudence et de parcimonie quant à ces nouvelles régulations, en évaluant au cas par cas les secteurs et usages nécessitant de nouveaux cadres juridiques.
À titre d’exemple, il estime ainsi que, si de nouveaux cadres légaux sont nécessaires concernant la conduite autonome, il n’en est pas forcément de même pour la médecine, où les législations existantes peuvent être adaptées pour couvrir l’usage d’appareils augmentés à l’IA.
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