Romain Tisne: «Comme dans le passé, la priorité est donnée aux nouvelles rencontres lors d’événements basés sur du contenu RH ou non.» (Photo: Olivier Toussaint)

Romain Tisne: «Comme dans le passé, la priorité est donnée aux nouvelles rencontres lors d’événements basés sur du contenu RH ou non.» (Photo: Olivier Toussaint)

La société TALANTLERS renouvelle son adhésion au Paperjam Club. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Romain Tisne. – «Depuis plus de deux ans, TALANTLERS se positionne comme un HR Business Partner externe pour des clients locaux ou internationaux. Nous développons aussi la pratique du coaching d’organisations, en plus d’un centre de formation innovant dédié aux Soft Skills et à l’Employabilité. Notre objectif est simple: accompagner nos clients au quotidien, et trouver, avec eux, une solution pour chacun de leurs problèmes, en recrutement, en formation, pour leurs projets RH, ou encore pour l’organisation d’événements RH.

Vous venez de renouveler votre adhésion au Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Après deux ans au Club, nous avons participé à l’intégralité des événements proposés, et je dois admettre que l’offre est assez unique à Luxembourg, tant sur le nombre d’événements que sur la qualité de ces moments. Nous voyons aussi d’un très bon œil le récent développement du partage de compétences autour de matinales, de webinars et d’autres formats. Notre développement sur le volet Upskilling est important et fait écho à celui du Club — une bonne raison pour renouveler l’expérience pour trois ans.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Comme dans le passé, la priorité est donnée aux nouvelles rencontres lors d’événements basés sur du contenu RH ou non. J’aime aussi particulièrement découvrir les business cases de start-up auxquelles le Club donne de la visibilité. Cela dynamise le paysage entrepreneurial luxembourgeois et nous permet, à nous, ‘players plus traditionnels’, d’être inspirés par des jeunes sociétés qui, souvent, nous amènent des solutions ou des outils très intéressants pour améliorer nos pratiques.»