Lancée en 2018, GouvAlert, peu utilisée, devrait être revue et corrigée d’ici la fin de l’année prochaine pour permettre de mieux alerter les citoyens. (Photo: Matic Zorman/Maison Moderne)

Lancée en 2018, GouvAlert, peu utilisée, devrait être revue et corrigée d’ici la fin de l’année prochaine pour permettre de mieux alerter les citoyens. (Photo: Matic Zorman/Maison Moderne)

En marge de sa tournée estivale des centres d’urgence et de secours, la ministre de l’Intérieur, Taina Bofferding, a annoncé ce mardi l’arrivée ou la refonte, d’ici fin 2022, d’une plateforme d’alerte aux risques de catastrophe naturelle. GouvAlert est peu utilisée.

«J’espère qu’à l’avenir, toutes les communes du pays collaboreront, afin de pouvoir apprendre de cette catastrophe et, avec d’autres acteurs, non seulement réagir, mais aussi anticiper.» Lors de la tournée estivale des centres d’urgence et de secours, la ministre de l’Intérieur, (LSAP), a annoncé, selon nos confrères de RTL, que le gouvernement travaillait à une nouvelle plateforme afin que les résidents puissent être alertés par SMS, sur le plan national ou même local, lorsque survient une catastrophe.

La police ainsi que Meteolux pourraient eux aussi émettre des alertes sur . Le système belge, lancé en 2004 et étendu à tout le pays depuis 2017, compte près d’un million d’inscrits. 

Mi-juillet, un message d’alerte a bien été envoyé, mais à 23 heures et seulement aux personnes qui ont téléchargé ou .