Gérard Neiens: «Nous cherchons à gagner en notoriété, apporter notre expertise et donner plus de visibilité à nos partenaires associatifs.» (Photo: Hogan Lovells Luxembourg)

Gérard Neiens: «Nous cherchons à gagner en notoriété, apporter notre expertise et donner plus de visibilité à nos partenaires associatifs.» (Photo: Hogan Lovells Luxembourg)

Le Paperjam Club accueille un nouveau membre: Hogan Lovells (Luxembourg) LLP. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

– «Hogan Lovells est un cabinet d’avocats présent mondialement avec +50 bureaux, dont une vingtaine aux USA. Nous sommes à Luxembourg depuis 2013 et assistons nos clients en fiscalité, droit des sociétés (M&A, private equity, etc.), finance, marchés de capitaux, réglementaire (secteur financier, spatial, etc.), fonds d’investissement. Notre différence tient en trois mots: convivialité par une taille humaine dans un réseau mondial; engagement auprès de la communauté; et flexibilité (horaires, télétravail, etc.).

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Nous souhaitons être encore plus connus du grand public localement, des start-up et des fintech qui ont le potentiel de devenir des acteurs mondiaux dans leur secteur, mais qui minimisent parfois l’intérêt de consulter un avocat au moment de leur structuration et/ou financement initial. Mieux vaut nous consulter en amont, pour éviter de mauvaises surprises et s’assurer que le projet prenne la direction voulue, plutôt qu’au stade du contentieux.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Nous cherchons à gagner en notoriété, apporter notre expertise et donner plus de visibilité à nos partenaires associatifs essentiellement locaux (le LCSB via Mind the Brain, Art2Cure, Ligue HMC, Dress for Success, Relais pour la vie, etc.) dans le cadre de notre engagement citoyen s’inscrivant dans la lignée des Objectifs de développement durable de l’Onu.

Notre fonctionnement en réseau signifie une culture de travail d’équipe. Donc nouer des collaborations fait partie de notre ADN!»