Sandra Birtel: «Plutôt que d’œuvrer chacun de son côté, se rassembler dans une communauté telle que le Paperjam Club est une évidence.» (Photo: BLL Consulting)

Sandra Birtel: «Plutôt que d’œuvrer chacun de son côté, se rassembler dans une communauté telle que le Paperjam Club est une évidence.» (Photo: BLL Consulting)

Le Paperjam Club accueille un nouveau membre: BLL Consulting. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Sandra Birtel. – «BLL Consulting est une société opérant sur deux axes. Premièrement en matière de formation, en tant qu’organisme agréé. Nous dispensons des formations certifiantes, ultra pédagogiques, mi-théoriques, mi-pratiques en matière de compliance (KYC, monitoring des transactions, gel des avoirs, prévention de la corruption ou encore de la radicalisation). Ensuite, nous menons des missions d’audit afin d’aider les entreprises à réduire leurs risques de non-conformité.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Le Luxembourg est une toute petite Place, ici plus qu’ailleurs je pense qu’il est nécessaire de travailler ensemble, main dans la main, pour construire notre économie de demain. Ainsi, plutôt que d’œuvrer chacun de son côté, se rassembler dans une communauté telle que le Paperjam Club est une évidence. Grâce aux événements et au networking, nous pouvons prendre conscience de l’ensemble des enjeux qui nous entourent même s’ils ne sont pas de notre domaine. C’est une belle opportunité!

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Je recherche le savoir, les connaissances et l’apprentissage. Je pense que l’on peut et que l’on doit apprendre de tous. Ainsi je pourrai apporter mon expertise, mes connaissances dans les domaines qui sont les miens: compliance, droit, enseignement, écriture... Et je recherche des connaissances dans d’autres secteurs qui m’ouvriront l’esprit sur d’autres enjeux, d’autres problématiques qui pourtant ne semblaient pas, au premier abord, pouvoir me toucher ou m’intéresser.»