La revue Radiology a publié une étude selon laquelle l’intelligence artificielle améliore la capacité de l’imagerie cérébrale à prédire la maladie d’alzheimer. (Illustration: Shutterstock)

La revue Radiology a publié une étude selon laquelle l’intelligence artificielle améliore la capacité de l’imagerie cérébrale à prédire la maladie d’alzheimer. (Illustration: Shutterstock)

La Chine possède désormais plus de «licornes» que les États-Unis

Selon le rapport Hurun, la Chine compte 181 start-up d’une valeur d’au moins 1 milliard de dollars US. 34 «licornes» se sont ajoutées au palmarès de la deuxième économie mondiale au troisième trimestre 2018.

La valeur de ces start-up réunies s’élève à 4.800 milliards de yuans (696 milliards de dollars), et la valorisation de la plus grande licorne chinoise, Ant Financial (1.000 milliards de yuans), a dépassé celle de ses homologues américaines Uber (76 milliards de dollars) et Airbnb (31 milliards de dollars), indique le rapport.

Rupert Hoogewerf, le président et chercheur en chef du rapport Hurun, a déclaré dans un communiqué: «Ces licornes, principalement dans la nouvelle économie, sont les entreprises à la croissance la plus rapide, avec le plus grand potentiel de croissance dans un contexte de ralentissement économique.»

L’intelligence artificielle peut prédire la maladie d’alzheimer bien avant le diagnostic

Selon une étude publiée dans la revue Radiology, l’intelligence artificielle améliore la capacité de l’imagerie cérébrale à prédire la maladie d’alzheimer. Pour soigner la maladie, les traitements et les interventions sont plus efficaces au début de son évolution.

Cependant, le diagnostic précoce est complexe. Jae Ho Sohn, coauteur de l’étude, docteur au département de radiologie et d’imagerie biomédicale de l’Université de Californie à San Francisco (UCSF), déclare: «Si nous diagnostiquons la maladie d’alzheimer lorsque tous les symptômes se sont manifestés, la perte de volume du cerveau est si importante qu’il est trop tard pour intervenir. Mais si nous pouvions la détecter plus tôt, nous aurions alors la possibilité de trouver de meilleurs moyens de ralentir, voire d’arrêter, le processus de la maladie.»

Le verdict est tombé: les chatbots n’ont pas le vent en poupe…

Le spécialiste de l’interaction client, Pegasystems, vient de publier les résultats d’une enquête sur l’efficacité des chatbots, menée en France auprès de 500 consommateurs. Le résultat est sans appel: les bots ne sont pas à la hauteur des exigences.

Ils sont un point de contact pratique et rapide dans certaines situations, mais les sondés leur reprochent avant tout de ne pas être aussi «intelligents» qu’espéré. 67% d’entre eux préfèrent toujours chatter avec un opérateur. Sur l’ensemble des personnes interrogées, seuls 14% estiment avoir eu une expérience très positive en utilisant un chatbot…

Pourtant, selon Gartner: «D’ici à 2020, 25% des opérations du service client et du service technique feront appel aux assistants virtuels ou aux chatbots sur l’ensemble des canaux d’engagement, contre moins de 2% en 2017.»

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