Lors de son discours de Noël, le est revenu sur différents moments de l’année qui se termine. Certains cruels, comme l au mois de février ou, face à laquelle «c’est toute une population sous le choc qui a fait preuve d’une grande solidarité».

Sans oublier évidemment : «Le chagrin est aussi une émotion que tout le pays, et bien au-delà des frontières, a partagé avec moi et ma famille, quand nous avons dû, le 23 avril, dire adieu au Grand-Duc Jean.»

Le succès de «Stand Speak Rise Up»

Mais les moments de joie ont aussi été réels. Parmi eux, le Grand-Duc a évoqué le succès du qui s’est tenu en mars à l’initiative de la Grande-Duchesse. Mais aussi . «Nous avons tous été très heureux aussi à », a  encore évoqué le Grand-Duc.

Dans un monde en changement constant, «seule notre capacité d’adaptation, en tant qu’individu ou en tant que collectivité, nous permet de suivre la cadence», a aussi dit le Grand-Duc, souhaitant à travers son discours évoquer sa vision de la modernité. «La modernité ne doit pas être conditionnée à l’abandon de nos racines et à la perte de notre identité. Les valeurs sur lesquelles sont fondées notre vie commune ne doivent pas être relativisées au point que nous ne les reconnaissions plus. Tout être humain doit pouvoir bâtir sa vie sur des fondements solides et avoir des repères», a-t-il ainsi souligné.

Écrire le mot «solidarité» en majuscules

Le Grand-Duc a aussi invité à redoubler d’efforts dans le domaine de la solidarité: «Au Luxembourg, nous voulons écrire le mot ‘solidarité’ en majuscules. Nous y parvenons souvent, mais pas toujours. Nous devons poursuivre l’effort. Nous pouvons cependant être fiers que notre sentiment de solidarité ait fait ses preuves lors de moments importants. Seuls, nous atteignons rapidement nos limites.»

Et d’affirmer sa conviction que des opinions politiques ou morales, des idées philosophiques ou religieuses contribuent aussi au fait que «nous ne nous considérons pas seulement en tant qu’individus, mais en tant que partie d’un tout. Aussi différentes soient-elles dans notre société pluraliste, les opinions ont le plus souvent les mêmes prémices: que nous pouvons changer le monde, que le progrès est possible pour un avenir meilleur. C’est pour cela qu’il est important d’avoir des idéaux et des modèles, ou au moins de croire en des valeurs solides, telles que le respect, la compassion et la tolérance pour nos semblables.» Un message destiné notamment à .