Si une seconde vague épidémique survient, il faudra pouvoir réagir vite et bien. C’est dans cet objectif que la ministre de la Santé (LSAP) souhaitait trouver une solution pérenne . Mise en place par la cellule de crise de la Direction de la santé, elle regroupe des personnes de différents organismes et administrations publics pour une durée temporaire. Sa raison d’être est la gestion du «stock national», soit les médicaments, les équipements de protection et les dispositifs médicaux nécessaires pour faire face au Covid-19.
Sollicités par la ministre, les quatre centres hospitaliers ont soumis la proposition de créer une asbl qui serait en charge de la gestion de ce «stock national», mais qui pourrait aussi élaborer et mettre en œuvre un concept d’infrastructure pour cas épidémiologiques graves.
Cette asbl nouerait aussi un partenariat avec l’Uni et collaborerait dans le cadre .
Cette proposition a reçu le soutien de la ministre.