Natz est sans conteste une des premières, voire la première marque de hard seltzers à faire parler d’elle au Grand-Duché…  (Photo: Maison Moderne)

Natz est sans conteste une des premières, voire la première marque de hard seltzers à faire parler d’elle au Grand-Duché…  (Photo: Maison Moderne)

Pas de sucre, un peu d’alcool, une identité jeune, urbaine et hyper fraiche: voilà ce que l’on boit à plein goulot lorsqu’on succombe aux «hard seltzers», grosse tendance du moment. Et Natz en est le parfait exemple...

Nouvelles alternatives très en vue à la bière, au vin et aux antiques «premixes» encore présents dans quelques rares night shops des grandes villes, les «hard seltzers» sont arrivés dans le paysage festif de manière aussi musclée que colorée, avec des cibles claires: les jeunes urbains branchés. «Seltzer» étant synonyme d’eau pétillante , la recette est simple: taux de sucre nul, très peu de calories et un taux d’alcool oscillant entre 4% et 6%. Une combinaison qui vend donc du «healthy drinking» et qui marche: le marché américain, où ces nouvelles boissons ont vu le jour il y a quelques années à peine, aurait déjà atteint près de 5 milliards de dollars en 2021 avec plusieurs dizaines de marques spécialisées.

En Europe, les consommateurs apprennent à connaitre ces nouvelles boissons festives depuis peu mais quelques marques ont déjà su fait parler d’elles ces derniers mois, à l’instar de Natz, des infusions pétillantes alcoolisées produites entre paris et la Belgique, où la jeune marque collabore avec un brasseur spécialisé dans l’aide aux producteurs artisanaux.

«Natz est issu d’une fermentation naturelle de jus de citron et de sucre de canne dans de l’eau pendant 14 jours. La totalité du sucre est transformé en alcool, il n'y donc aucun sucre résiduel. Le résultat est ensuite infusé au citron, au thé ou au gingembre. La fermentation et l’infusion sont la clé du goût unique de nos hard seltzer. Elles apportent longueur, fraîcheur, gourmandise et permettent d'équilibrer l'absence totale de sucre», précise ainsi Florentin Cugnot, cofondateur de la marque.

À la dégustation, c’est effectivement beaucoup de légèreté qui s’impose, avec une petit côté fermenté très appréciable, qui se rapproche du cidre et du kombucha mais en beaucoup plus subtil. La version au thé noire est la plus réussie, avec une saveur et une longueur en bouche intéressantes. Le «Ginger Crush» tient ses promesses avec du 100% gingembre sans sucre hyper rafraichissant. La version citron s’avère quant à elle plus anecdotique.

On comprend en tout cas bien l’approche colorée et urbaine: on imagine tout à fait siroter un Natz dans un jardin, un parc ou une after en plein air – d’autant qu’il n’y a que 28 kcal annoncées par bouteille de 33cl! Pour l’instant, , mais «nous cherchons des partenaires locaux au Luxembourg et en Belgique pour nous installer plus solidement », confie Florentin à Paperjam Foodzilla. Avis aux intéressés!

Dernier atout non négligeable: Natz fournit une enveloppe pré-remplie et prépayée pour renvoyer les capsules métalliques usagées pour recyclage, toutes marques confondues. Joli.

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