Guillaume Lejeune: «Le Club nous permet de faire partie intégrante du tissu économique et social luxembourgeois et de faire partie d’une communauté.» (Photo: DR)

Guillaume Lejeune: «Le Club nous permet de faire partie intégrante du tissu économique et social luxembourgeois et de faire partie d’une communauté.» (Photo: DR)

La société IWG Luxembourg renouvelle son adhésion au Paperjam Club. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Guillaume Lejeune. – «IWG est le leader des espaces de travail flexibles. Créé en 89, notre modèle s’est décliné en plusieurs marques pour s’adapter à chaque type de client. Spaces, lancée cette année au Luxembourg, est la version plus trendy et urbaine de Regus. Notre modèle repose sur trois valeurs. Une formule all inclusive permettant à nos clients de se concentrer sur leur business. Une flexibilité sur la durée, l’espace, le mobilier, la localisation ou la manière de travailler. Et un réseau de 13 centres au Luxembourg, 3.500 à travers le monde accessibles gratuitement pour tous nos membres!

Vous venez de renouveler votre adhésion au Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussés à le faire?

«Nous souhaitons nous ouvrir sur les nouvelles tendances et les autres membres du Club, d’une part. D’autre part, communiquer sur notre développement et l’extension de notre réseau au Luxembourg (l’ouverture de Spaces Gare (Impulse), Regus Leudelange (Altitude) et Spaces Royal (Zenit) au cours de cette année 2020). Nous voulons valoriser la pertinence de nos produits et de notre concept, à l’heure où l’immobilier de bureaux est en pleine mutation et où chaque société est amenée à réfléchir à l’utilisation et la logique de ses espaces de travail suite à cette année 2020 si particulière.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Le Club nous permet de faire partie intégrante du tissu économique et social luxembourgeois et de faire partie d’une communauté. C’est crucial pour toute société, comme ça l’est pour tout individuel, surtout depuis mars 2020 et le début de la crise sanitaire. C’est d’ailleurs une des conclusions à tirer sur le télétravail, ça fonctionne, mais avec des limites. Le manque de relations sociales en fait partie. Nous nous efforçons d’augmenter les synergies entre les sociétés présentes chez nous et de stimuler/dynamiser nos utilisateurs grâce à des espaces de travail inspirants.»