Jean-Paul Karpen: «Pour rester efficace, notre organisation doit être attentive en permanence à l’évolution des besoins et des défis de la société moderne.» (Photo: Marc Blasius/Maison Moderne)

Jean-Paul Karpen: «Pour rester efficace, notre organisation doit être attentive en permanence à l’évolution des besoins et des défis de la société moderne.» (Photo: Marc Blasius/Maison Moderne)

Le Paperjam + Delano Club accueille un nouveau membre: Fondation Lëtzebuerger Kannerduerf. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Jean-Paul Karpen. – «Depuis 1968, la Fondation Lëtzebuerger Kannerduerf s’engage pour que chaque enfant et chaque jeune bénéficie d’un cadre de vie stable et protecteur, que son développement personnel soit soutenu et qu’il/elle soit préparé(e) à une vie indépendante et socialement intégrée. Nous offrons différentes formules d’encadrement résidentiel aux jeunes qui ne peuvent plus vivre dans le milieu familial, et un soutien thérapeutique/psychosocial aux familles en difficulté.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Pour rester efficace, notre organisation doit être attentive en permanence à l’évolution des besoins et des défis de la société moderne. Une manière de le faire est de pratiquer l’échange avec les acteurs de l’économie, au sein du Paperjam + Delano Club et de ses ateliers et séminaires. Par ailleurs, la pénurie de main-d’œuvre rend délicats les recrutements pour le secteur social. Ces échanges nous aideront éventuellement à finaliser de nouveaux profils.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Nous souhaitons établir des synergies avec des entreprises socialement responsables qui, en s’engageant dans l’accompagnement stable de causes sociales, nous permettront d’implémenter des solutions efficaces à long terme. La possibilité de proposer nos jeunes pour des stages pratiques leur offrira un premier contact avec le marché du travail. Enfin, nous espérons que cette dynamique débouchera sur un débat sur les défis et les réponses pour bâtir ensemble une société épanouie et prospère.»