Vincent Henneaux: «Avoir la chance de pouvoir participer à des événements qualitatifs grâce auxquels de nouveaux contacts peuvent être créés représente une valeur ajoutée pour une entreprise.» (Photo: DR)

Vincent Henneaux: «Avoir la chance de pouvoir participer à des événements qualitatifs grâce auxquels de nouveaux contacts peuvent être créés représente une valeur ajoutée pour une entreprise.» (Photo: DR)

La société KBC Autolease renouvelle son adhésion au Paperjam Club. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société? 

Vincent Henneaux. – «KBC Autolease est spécialisée dans le leasing opérationnel de voitures et utilitaires légers à destination des indépendants et des entreprises. Elle devient également de plus en plus un acteur de multimobilité puisqu’un leasing opérationnel vélo est actuellement en phase de test chez plusieurs clients. En outre, KBC Autolease privilégie l’intégration digitale de gestion de flottes qui permet de générer un gain de temps chez les clients tout en augmentant la satisfaction de leurs collaborateurs.

Vous venez de renouveler votre adhésion au Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Le networking est primordial, spécifiquement dans un environnement comme le Luxembourg. Avoir la chance de pouvoir participer à des événements qualitatifs grâce auxquels de nouveaux contacts peuvent être créés représente une valeur ajoutée pour une entreprise.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Des échanges constructifs et de nouvelles idées permettent l’enrichissement de chacun. Sans aucune prétention, KBC Autolease participe à l’expansion d’une mobilité différente ainsi qu’au développement d’outils digitaux. Cela permet aux autres membres de se poser la question de savoir comment intégrer ces changements dans leur organisation avec, à la clé, un gain de productivité, plus de responsabilité sociétale mais aussi plus de satisfaction chez leurs collaborateurs. Ces derniers représentent notre capital le plus important, n’est-ce pas?»