Cinq des 13 entreprises labellisées «Great place to work» au Luxembourg entrent au top 150 européen. (Photo: Shutterstock)

Cinq des 13 entreprises labellisées «Great place to work» au Luxembourg entrent au top 150 européen. (Photo: Shutterstock)

Reazn, GSK Stockmann, CTG IT Solutions, System Solutions Luxembourg et The Adecco Group font partie du classement européen des 150 entreprises où il fait bon travailler. Cinq représentantes du Grand-Duché, contre une seule l’an dernier.

Les entreprises luxembourgeoises ont percé dans le classement européen des Best Workplaces 2021. En juin, 13 avaient reçu le label «Great place to work», soit sept de moins qu’en 2020 qui entraient en lice pour le top 150 européen. Pourtant, elles y sont plus nombreuses cette année: cinq au lieu d’une.

Le classement a été révélé ce mardi 21 septembre. Voici les luxembourgeoises qui y figurent:

Dans la catégorie des petites entreprises (10 à 49 salariés):

Reazn (25 salariés), spécialiste du zinc, arrive en 13e position.

- Le cabinet d’avocats GSK Stockmann (40 salariés) arrive à la 24e place.

Dans la catégorie des moyennes entreprises (50 à 499 salariés):

- L’entreprise informatique CTG IT Solutions (165 salariés) arrive 16e.

System Solutions Luxembourg (56 salariés), également active dans le secteur informatique, prend la 25e place.

Dans la catégorie des multinationales:

The Adecco Group, agence d’intérim (105 salariés au Luxembourg), arrive 9e.

La filiale de Post, InTech, ne figure plus dans le classement européen, qu’elle était la seule luxembourgeoise à avoir intégré en 2020.

Un meilleur effort discrétionnaire

Pour établir son top 150 européen, l’institut Great Place to Work a interrogé les salariés des 3.000 entreprises labellisées dans 36 pays. . Un tiers de la note venait d’un dossier sur la culture de l’entreprise et deux tiers d’un questionnaire envoyé à tous les salariés.

Les organisations multinationales n’ont pas été évaluées que sur les efforts fournis au siège. Pour faire partie du classement européen, elles devaient figurer sur au moins trois listes nationales en Europe et avoir au minimum 1.000 employés dans le monde, dont au moins 40% ou 5.000 en-dehors du pays où elles sont basées.

La différence entre une «Great place to work» nationale et européenne n’est pas négligeable. 83% des employés des 150 organisations récompensées se déclarent prêts à fournir plus d’efforts que ce qui est requis pour faire le travail, contre 67% dans les autres.