«J’ai choisi ce jour tout particulier pour moi, pour vous annoncer mon départ de Great Place to Work Luxembourg le 14 juin. Qui dit un an de plus, dit nouveau challenge et nouvelle direction pour moi.» a choisi Linkedin pour annoncer qu’elle quittait ses fonctions de managing director Luxembourg du réseau international axé sur la qualité de vie au travail, à l’origine d’un
Un départ après cinq ans, pour ouvrir les portes à «un nouveau challenge, une nouvelle opportunité professionnelle, qui me permettrait d’apporter une plus-value certaine dans les métiers des RH grâce à mon expérience et les valeurs qui m’animent», écrit-elle. «Comme tout projet et après quelques années, je ressens maintenant le besoin d’évoluer personnellement vers d’autres choses», précise-t-elle à Paperjam. «Habituellement très active sur Linkedin, je suis restée en retrait ces derniers temps, car j’avais besoin de prendre du recul pour m’occuper de moi et de mes proches. La pandémie telle que nous l’avons connue a sans doute accéléré ma décision.»
Une envie de changement qui ne s’accompagne d’aucun plan concret pour le moment. «J’ai eu des propositions que j’ai refusées, car elles ne correspondaient pas à mes attentes, mais je reste ouverte aux opportunités, et pas forcément en tant que responsable», détaille-t-elle. «Le titre m’importe peu. Ce qui m’intéresse, ce sont les missions.»
Une équipe réduite
Est-ce synonyme de recrutement chez Great Place to Work? «Pour le moment, nous allons gérer, comme nous le faisons depuis quelques mois, le day-to-day avec mon collègue», explique Justine Bousquet, en charge des relations marketing. L’équipe de trois personnes devrait donc officiellement passer à deux. «Cela se passe plutôt bien, nous arrivons à couvrir l’entièreté des missions de la société», détaille Justine Bousquet. Elle s’occupe de la partie marketing et commerciale en tant que chief marketing officer. Son collègue, Sebastian Löfgen, de tout ce qui tourne autour des enquêtes auprès des entreprises, en tant que chief operations officer. «Il n’y en a pas un au-dessus de l’autre.» Les deux restent de toute façon sous la houlette du réseau international de Great Place to Work et de leur actionnaire principal pour le Luxembourg, Jean-Marc Faber, à la tête de la fiduciaire éponyme. Et si la demande des entreprises venait à augmenter dans les prochains mois ou années au Grand-Duché, l’institut n’exclut pas d’ouvrir un nouveau poste.