L’État financera l’exécution des missions de l’association Industriekultur-CNCI par une dotation de 50.000 euros. (Photo: Ministère de la Culture)

L’État financera l’exécution des missions de l’association Industriekultur-CNCI par une dotation de 50.000 euros. (Photo: Ministère de la Culture)

La ministre de la Culture, Sam Tanson, a signé une convention le 27 janvier avec l’association Industriekultur-CNCI pour promouvoir le patrimoine culturel industriel.

L’idée d’un Centre national de la culture industrielle (CNCI) remonte aux années 1990. Elle devrait se concrétiser à l’occasion d’Esch2022: un lancement est en effet prévu à ce moment-là près du site des hauts fourneaux de Belval.

Le CNCI se veut être un centre d’expertise pour le patrimoine industriel national et sera notamment en charge d’un important travail d’information, de documentation, de médiation, de communication et de recherche autour du patrimoine de l’industrie.

Dans ce contexte, la ministre de la Culture,  (Déi Gréng), a rencontré les responsables de l’association Industriekultur-CNCI à la Schungfabrik à Tétange pour signer une nouvelle convention.

L’asbl s’engage à représenter les intérêts du secteur de la culture industrielle auprès du secteur culturel, des partenaires et des décideurs publics, et à favoriser la protection et la promotion du patrimoine culturel industriel. De son côté, l’État financera l’exécution de ces missions par une dotation de 50.000 euros.

L’association Industriekultur-CNCI  pour promouvoir la création d’un CNCI comme structure faîtière capable d’animer un réseau d’organismes liés à la préservation et à la promotion du patrimoine industriel. Le Minett Tour constitue sa première base de partenaires. Et le CNCI prévoit déjà d’intégrer le réseau de l’European Route of Industrial Heritage.