Janvier, Corlytics et son vice-président Kevin O’Leary (ici au centre) remportent le Deloitte Regtech Award. Un des 11 projets à suivre pour le premier NadiFin. (Photo: Corlytics/Carola Ducoli)

Janvier, Corlytics et son vice-président Kevin O’Leary (ici au centre) remportent le Deloitte Regtech Award. Un des 11 projets à suivre pour le premier NadiFin. (Photo: Corlytics/Carola Ducoli)

Onze fintech entre la post-production et la pré-série B ont été sélectionnées pour la première édition du programme d’accélération NadiFin, développé au Luxembourg par Middlegame Ventures et Farvest, en partenariat avec la House of Fintech (Lhoft).

Onze fintech se réuniront pour NadiFin à partir du 20 mai à Luxembourg, près de l’ICT Spring, avant d’émigrer vers Dublin du 10 au 14 juin pour la session suivante.

Au menu, un programme d’études personnalisé construit à partir de rien avec des connaissances expérimentées en capital-risque de MiddleGame Ventures. Ces efforts seront complétés par un mentorat avec des partenaires des services financiers et de la technologie travaillant sur les défis liés à la validation de principe.

«Le programme NadiFin fournit des informations inégalées sur les entreprises en démarrage et celles qui ne le sont pas, pour atteindre le niveau supérieur d’investissement et de traction commerciale», explique Pascal Bouvier, directeur associé de Middlegame Ventures.

«Un groupe fantastique et des entreprises fortes. Nous sommes ravis de co-animer ce grand programme au Luxembourg, d’ajouter de la valeur à l’écosystème local en apportant des solutions nouvelles et innovantes au secteur des services financiers et en offrant un formidable point de départ pour les entreprises fintech désireuses d’accéder au marché européen élargi», a commenté le CEO de la Lhoft, .

Les partenaires de l’édition 2019 de NadiFin sont notamment Pictet, Fuchs, Telindus, Arendt, Enterprise Ireland, la fédération irlandaise du secteur bancaire et des paiements (Banking & Payments Federation Ireland), Grant Thornton, WeWork Labs, Amazon Web Services et Stripe.

Les onze fintech retenues

: une fintech présente au Luxembourg, à Dubaï et à Moscou, qui offre une blockchain aussi bien pour des projets business que gouvernementaux.

: une plate-forme tchèque pour connecter les investisseurs avec les projets immobiliers, partout sur la planète.

: l’Irlandaise a un projet déjà très remarqué et récompensé, capable à la fois de surveiller d’un point de vue global les régulations bancaires et financières de la planète, de vérifier quelles sont les régulations pertinentes pour une société donnée et de rendre plus efficace l’analyse des risques.

: une sorte de trésorier des temps modernes, capable de fluidifier les besoins en trésorerie à partir des données.

: une regtech à base de blockchain pour le secteur financier et les fonds d’investissement, déjà basée à New York, Sydney et en Irlande.

: la plate-forme luxembourgeoise pour la gouvernance et la surveillance réglementaire de fonds d’investissement.

: basée aux Pays-Bas et en Bulgarie, la fintech développe des solutions de protection des données via la blockchain.

: la Londonienne travaille sur des solutions de gestion des assets avec un focus sur la dimension légale.

: comment gérer les abonnements de banque en ligne? C’est le sujet auquel s’est attachée cette prometteuse fintech suédoise qui a déjà séduit la Swedbank.

: cette start-up milano-londonienne automatise les principales émissions et l’administration d’instruments tels que les prêts, les obligations et les billets structurés pour les banques d’investissement.

: le tout-en-un israélien de la création d’identité numérique sécurisée.