Preben Aamann, porte-parole du président du Conseil européen Donald Tusk (ci-dessus), a annoncé dans un tweet que le Conseil qui réunissait les Vingt-Huit est suspendu jusqu’à ce mardi 2 juillet à 11h.  (Photo: Shutterstock)

Preben Aamann, porte-parole du président du Conseil européen Donald Tusk (ci-dessus), a annoncé dans un tweet que le Conseil qui réunissait les Vingt-Huit est suspendu jusqu’à ce mardi 2 juillet à 11h.  (Photo: Shutterstock)

Le président du Conseil européen Donald Tusk a suspendu la réunion extraordinaire du Conseil européen débutée ce dimanche 30 juin. Le sommet doit reprendre ce mardi 2 juillet à 11h.

«Nous avons terminé cette journée sur un échec, c’est une très mauvaise image pour le Conseil et pour l’Europe», a déclaré le président français Emmanuel Macron ce lundi 1er juillet à la sortie de la réunion extraordinaire du Conseil européen.

À 11h, Preben Aamann, porte-parole du président du Conseil européen Donald Tusk, a annoncé dans un tweet que le Conseil qui réunissait les Vingt-Huit était suspendu jusqu’à ce mardi 2 juillet à 11h.

, ce sommet doit permettre de répartir les cinq postes-clés de l’Union européenne, à savoir: les présidents de la Commission, du Conseil, du Parlement et de la Banque centrale européenne (BCE), mais aussi le futur haut représentant de l’UE pour les Affaires étrangères.

Après plusieurs heures de discussions, certaines sources ont confié aux agences de presse présentes à Bruxelles que la candidature du social-démocrate néerlandais Frans Timmermans se dégagerait pour la présidence de la Commission (voir photo ci-dessous).

Le social-démocrate néerlandais Frans Timmermans obtiendrait la présidence de la Commission européenne, selon plusieurs sources. (Photo: Shutterstock)

Le social-démocrate néerlandais Frans Timmermans obtiendrait la présidence de la Commission européenne, selon plusieurs sources. (Photo: Shutterstock)

La Bulgare Kristalina Georgieva (PPE) serait à la présidence du Conseil, l’Allemand Manfred Weber (PPE) – un temps pressenti à la tête de la Commission – obtiendrait la présidence du Parlement, et le premier ministre belge Charles Michel (libéral) serait désigné au poste de haut représentant de l’UE pour les Affaires étrangères.