au 1er avril. Ils ne sont pas les seuls concernés par le déclenchement de l’index, qui touche aussi les pensions, les prestations familiales, les revenus de remplacement lors des congés parentaux ou encore les allocations de vie chère. Tour d’horizon des nouveaux minima sociaux.
Le salaire minimum pour une personne qualifiée de plus de 18 ans passe ainsi de 2.708,35 à 2.776,05 euros. Pour une personne non qualifiée, il augmente de 2.256,95 à 2.318,38 euros. L’allocation familiale passe de 271,66 à 278,45 euros par enfant. Le revenu en congé parental est plafonné à 3.855,63 euros, au lieu de 3.761,59 euros. L’allocation de vie chère passe quant à elle à 1.652 euros pour une personne seule et 2.065€ pour deux personnes composant un même ménage.
La hausse des revenus s’accompagne d’une hausse de prix pour certains services. La Caisse nationale de santé (CNS) publie ainsi ses nouveaux tarifs au 1er avril 2022. La consultation chez le médecin généraliste passe à 53,60 euros en tarif 1. Celle chez le dentiste à 37,60 euros, chez le gynécologue à 38,80 euros ou celle chez le psychiatre à 54,90 euros. Attention, il s’agit bien du prix de la consultation minimum, même si le médecin peut ajouter des frais (CP1 pour rendez-vous fixé à la demande expresse du patient, location de matériel, etc.) qui font grimper la facture réelle.
, car même si un second doit être déclenché en août, il sera reporté à avril 2023 et , a annoncé le gouvernement. En revanche, le ministère des Finances a révélé à RTL, la semaine dernière, que les allocations familiales ne seront pas concernées par le report et pourront bien augmenter cet été avec le deuxième index.