Un peu moins de 400 signatures ont été déposées à la commune de Luxembourg dans le cadre de la procédure pour déclencher un référendum constitutionnel. À Esch-sur-Alzette, deuxième ville du pays, seulement 295 signatures ont été remises. C’est un peu moins que les 319 signatures déposées à la commune de Differdange, troisième ville du pays.  (Photo: EU/Anthony Dehez/archives)

Un peu moins de 400 signatures ont été déposées à la commune de Luxembourg dans le cadre de la procédure pour déclencher un référendum constitutionnel. À Esch-sur-Alzette, deuxième ville du pays, seulement 295 signatures ont été remises. C’est un peu moins que les 319 signatures déposées à la commune de Differdange, troisième ville du pays.  (Photo: EU/Anthony Dehez/archives)

Dans l’ensemble des trois plus grandes communes du pays, le nombre de signatures pour déclencher un référendum constitutionnel atteint péniblement la barre des 1.000. Pour rappel, il fallait réunir 25.000 signatures pour valider l’organisation d’une telle consultation populaire.

373 signatures ont été déposées à la commune de Luxembourg dans le cadre de la procédure pour déclencher un référendum constitutionnel. À Esch-sur-Alzette, deuxième ville du pays, seulement 295 signatures ont été remises. C’est un peu moins que les 319 signatures déposées à la commune de Differdange, troisième ville du pays.

Selon d’autres médias, dans plusieurs communes du pays, comme Diekirch ou encore Wiltz et Echternach, le nombre de signatures n’atteint pas la centaine.

En octobre dernier, le Premier ministre, Xavier Bettel (DP), .

Il était ensuite possible, pour les électeurs résidents, de se rendre dans sa commune pour y déposer une signature afin de signifier son désir de référendum en ce qui concerne la révision de la Constitution du pays. Mais, n’ayant pas atteint un total de 25.000 signatures, le référendum ne devrait pas être organisé, faute d’engouement des électeurs sur le sujet.

Pourtant, le 8 novembre dernier sur le site de la Chambre des députés, avait réussi à recueillir 18.645 signatures. Mais visiblement, l’engouement n’a pas été le même en mairie.

Les communes disposent désormais d’une petite semaine pour remettre d’ici le 28 décembre l’ensemble des signatures au ministère d’État. Ce dernier aura alors huit jours pour vérifier et comptabiliser toutes les signatures. Le résultat final devrait être connu le 5 janvier prochain.