Monsieur Treinen, quels ont été les retours de votre participation au Prix de l’innovation en 2013?
«Ils ont été très positifs. Nous avons eu de nombreuses publications dans la presse locale et internationale, à la fois pour notre participation au concours et, bien sûr, pour avoir gagné le premier prix. La résonance auprès de notre clientèle, mais aussi de nos partenaires, voisins, amis, collègues de travail et familles a été énorme et très motivante pour toute l’équipe.
Avoir réussi à obtenir ce prix est encore aujourd’hui un facteur supplémentaire qui contribue à mobiliser les clients à se décider pour une société innovante située au Grand-Duché de Luxembourg.
Comment abordez-vous l’innovation dans votre entreprise depuis cette récompense?
«Nous nous sommes rendu compte qu’il est important de ne pas s’arrêter à l’attribution d’un prix, mais d’innover continuellement. Le fait d’avoir gagné il y a quelques années constitue pour nous un défi pour l’avenir. Il s’agit de continuer à optimiser notre processus de management.
Ce prix a été une belle valorisation du travail de chacun de nos collaborateurs et on a bien senti leur motivation pour améliorer davantage les choses qui fonctionnaient déjà bien dans le passé.
Concrètement, comment innover dans le management?
«Dans le domaine de la construction métallique, la demande est très grande. Pour y répondre sans augmenter le personnel, il faut devenir plus efficace.
Optimiser nos processus de management, du premier contact avec le client jusqu’au montage du produit fini, est la façon par laquelle nous nous améliorons tous les jours. Et quand le personnel comprend l’utilité de l’optimisation des processus, il participe activement pour permettre à l’entreprise de devenir meilleure.»
Le Prix 2017 de l’innovation dans l’artisanat, rebaptisé «The hands of innovation», se déclinera cette année en cinq catégories: Produit, service ou design; Système ou processus de production; Stratégie d’internationalisation et d’export; Gestion, organisation et management; Marketing et communication. Cette interview a été réalisée en partenariat avec la Chambre des métiers.