Face à la loi de Moore qui ralentit, les chercheurs vont devoir mettre au point de nouvelles générations de puces électroniques. Plus puissantes. (Photo: MIT)

Face à la loi de Moore qui ralentit, les chercheurs vont devoir mettre au point de nouvelles générations de puces électroniques. Plus puissantes. (Photo: MIT)

C’est mathématique: plus les smartphones et autres ordinateurs seront évolués, plus les microprocesseurs devront être puissants. Les «puces» de demain se préparent à l’intelligence artificielle.

Le problème est essentiel, mais ceux qui s’en préoccupent vraiment communiquent assez peu sur les progrès de leurs travaux.

Selon la loi de Moore (Gordon Moore, 1965), le nombre de transistors par circuit de même taille doit doubler tous les 18 mois à prix constant... jusqu’à aujourd’hui... À peu près aujourd’hui.

Il faudra donc une nouvelle génération (technologie) de puces et de cartes à puces pour répondre au développement des intelligences artificielles. C’est ce que confirme Vivienne Sze, chercheur au MIT, où elle dirige un laboratoire de recherche sur le sujet. .