Steve Verlinden: «Le Paperjam Club permet une très grande visibilité au niveau luxembourgeois, de par les évènements qui sont organisés, et pour une jeune entreprise comme la nôtre, c’est important.» (Photo: Nadi Solutions)

Steve Verlinden: «Le Paperjam Club permet une très grande visibilité au niveau luxembourgeois, de par les évènements qui sont organisés, et pour une jeune entreprise comme la nôtre, c’est important.» (Photo: Nadi Solutions)

Le Paperjam Club accueille un nouveau membre: Nadi Solutions. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

– «Chez Nadi Solutions, nous développons une plate-forme de reporting, nadi, destinée aux fonds d’investissement. L’application que nous fournissons à nos clients leur permet de produire efficacement et avec une très haute qualité tous les documents qui sont nécessaires aux régulateurs et aux investisseurs. L’idée est d’automatiser et de simplifier la chaîne de production en obtenant un gain significatif de la productivité et une grande flexibilité pour aborder les changements réglementaires.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Le Paperjam Club permet une très grande visibilité au niveau luxembourgeois, de par les événements qui sont organisés, et pour une jeune entreprise comme la nôtre, c’est important. De plus, l’offre avec les formations et les workshops permet à nos employés de gagner en expérience et de s’ouvrir à d’autres horizons.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Avec les différentes possibilités qu’offre le Club, nous allons aussi bien pouvoir former nos collègues, mais également apporter notre expérience lors des différents workshops. Outre notre sympathie lors des events, nous pouvons proposer aux autres membres notre solution et notre expertise sur les problèmes qu’ils rencontrent. Il est toujours intéressant de connaître d’autres secteurs d’activité où notre solution pourrait s’appliquer.»