Pierre Mangers: «Je suis convaincu que le Paperjam Club rassemble le pays avec la panoplie de ses langues et réseaux autochtones, frontaliers et résidents étrangers.» (Photo: Manghini)

Pierre Mangers: «Je suis convaincu que le Paperjam Club rassemble le pays avec la panoplie de ses langues et réseaux autochtones, frontaliers et résidents étrangers.» (Photo: Manghini)

Le Paperjam Club accueille un nouveau membre: Manghini. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?  

Pierre Mangers. –«Le cabinet de conseil Manghini, créé en 2018, est né d’une solide expérience professionnelle de plus de 20 ans en stratégie et opérations dans les secteurs public et privé. Manghini accompagne ses clients à franchir le cap du ‘doing digital’ pour atteindre le ‘being digital’.

Le cabinet de conseil reconstruit, avec son client, l’organisation dans un nouvel écosystème et l’enrichit de compétences en absorbant les innovations du marché. Manghini aide ses clients à relever leurs défis stratégiques, opérationnels, de conformité RGPD et de communication liés à la transformation digitale.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«L’échange avec d’autres entrepreneurs venant de différents secteurs économiques est très enrichissant. Le magazine Paperjam me permet de prendre le pouls du ‘Zeitgeist’ car il est un des acteurs de presse les plus représentatifs du pays.

Finalement, je suis convaincu que le Paperjam Club rassemble le pays avec la panoplie de ses langues et réseaux autochtones, frontaliers et résidents étrangers. Je suis un fan de la diversité culturelle qui est à la source de l’innovation sociétale et technologique.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Des entrepreneurs qui cherchent, j’en trouve, mais des entrepreneurs qui trouvent, j’en cherche. Conseiller, c’est partager le meilleur de soi avec les autres.»