Si les portes de l’édition 2018 de l’Autofestival ne se refermeront que ce lundi, certains constructeurs certifient d’ores et déjà que cette grande messe de l’automobile au Luxembourg est un succès pour eux.

Parmi eux Mini, qui a fait part ce vendredi d’un résultat en promesses de vente supérieur de 13% à celui enregistré en 2017, qui fut une année record pour la marque anglaise – propriété de BMW – avec 973 immatriculations comptabilisées au Luxembourg.

Comme les SUV, les berlines ou les 4x4, les citadines ont donc aussi la cote sur le marché automobile grand-ducal même si, dans ce segment, Mini se considère comme «difficilement comparable à ses concurrentes», se définissant comme la seule marque premium parmi ces citadines.

Bertrand Florquin, country manager de Mini pour la Belgique et le Luxembourg, se félicite des affaires de la marque au Grand-Duché, «qui est un excellent marché aussi bien au niveau des voitures particulières que des véhicules de société», assure-t-il.

Une tout-électrique l’an prochain

Un marché sur lequel les différents modèles de Mini rencontrent tous le même succès, qu’il s’agisse des Countryman ou des Clubman, mais également des plus classiques trois portes, cinq portes et cabriolets, dont les nouvelles versions sont présentées à l’occasion cette édition 2018 de l’Autofestival.

«Pour les motorisations les plus sportives, le Luxembourg est même un marché leader», poursuit Bertrand Florquin, ajoutant que la solution hybride proposée par Mini, à travers la Cooper S E Countryman, séduisait aussi de plus en plus de résidents.

D’où un réel optimisme aussi pour la future Mini tout-électrique, dont la commercialisation débutera l’an prochain.

«Dotée du même moteur que l’actuelle BMW i3, ce sera une voiture très fun!», conclut le responsable des ventes de Mini, qui peut légitimement tabler sur le franchissement du cap des 1.000 véhicules immatriculés cette année au Grand-Duché.