Cette année, ce sont 50 recrutements qui sont annoncés. 20 personnes ont déjà rejoint la start-up en pleine expansion depuis janvier.  (Photo: Mike Zenari)

Cette année, ce sont 50 recrutements qui sont annoncés. 20 personnes ont déjà rejoint la start-up en pleine expansion depuis janvier.  (Photo: Mike Zenari)

2016 s’annonce comme une année faste pour Talkwalker, devenue une PME de taille respectable. Après avoir récemment lancé un nouvel outil de scan des logos pour une veille optimisée, un développement entièrement fait in-house, la start-up restée luxembourgeoise vient de s’installer avenue Monterey, au cœur de la ville.

Le précédent siège situé à quelques rues de là, devenant trop petit pour accueillir tous les collaborateurs en cours de recrutement, le nouvel emplacement offre dès à présent plus de place pour les bureaux, mais aussi de nouvelles zones collaboratives.

En quelques chiffes, la solution de veille est toujours dans le top cinq mondial des meilleurs outils d’e-réputation mondiaux, ses 1.500 serveurs analysent tous les jours plus de 500 millions de publications dans 187 langues, issues de plus de 150 millions de sites web et 147 pays. Ses marchés centraux sont aujourd’hui l’Allemagne, la France, le Benelux, les USA et le Royaume-Uni.

50 recrutements en 2016

Dans les 600 références clients annoncées, on retrouve des poids lourds internationaux comme Benetton, Coca-Cola, Microsoft ou encore Publicis. La grande majorité est située hors des frontières grand-ducales.

Les nouveaux bureaux

Les nouveaux bureaux du centre-ville permettront à la start-up pensée par deux fondateurs, Christophe Folschette, actuel global sales director, et Thibaut Britz, CTO, d’assurer ses ambitions fortes en termes de croissance. Après avoir fondé un bureau à New York en 2015, constitué une équipe locale de 10 personnes et choisi Todd Grossman comme CEO pour Talkwalker USA, le spécialiste de l’intelligence des données sociales envisage de recruter 50 personnes cette année, dont 2/3 de juniors. 20 ont déjà démarré depuis le mois de janvier.

Parmi les 20 postes ouverts en ce moment et en ligne sur le site, commerciaux germanophones, néerlandophoness ou arabophones, un copywriter ou encore un webdesigner. Prochaines étapes: continuer à développer les activités américaines, trouver la trentaine de profils manquants, et maintenir la qualité de la R&D, partie intégrante de l’ADN de la boîte.