La recette de Lucie Hoffmann s’inspire de ses voyages. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne)

La recette de Lucie Hoffmann s’inspire de ses voyages. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne)

En tant que CEO de Vendimus, Lucie Hoffmann met en relation les acteurs du secteur IT. En cuisine, elle aime associer les saveurs en s’inspirant de ses voyages. La preuve avec une superbe recette venue de Tel-Aviv…

Pour 4 personnes

Cuisson : 10 minutes

Préparation : 15 minutes

Une rectte israélienne venue de Tel-Aviv. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne)

Une rectte israélienne venue de Tel-Aviv. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne)

Pour la recette

- 4 kakis israéliens si possible, ou 3 portugais, souvent plus gros 

- 300 g de manouri 5 pincées de zaatar (à trouver en épicerie bio)

- Sésame torréfié

- Huile d’olive Fleur de sel

- Origan frais (optionnel)

- Découpez les kakis en petits cubes d’un centimètre de côté. Il est parfois difficile de trouver des kakis lorsque ce n’est pas la pleine saison, c’est donc une recette assez saisonnière. Mais La Provençale ­propose de très jolis kakis israéliens, si c’est la période.

-Découpez le manouri – un fromage d’origine grecque et levantine semi-doux à base de petit lait de brebis ou de chèvre – en briquettes d’un centimètre par deux.

- Faites revenir les deux préparations dans un peu d’huile d’olive, dans deux poêles ­séparées, à feu moyen à fort, pendant une dizaine de minutes. Le but est d’avoir une jolie coloration caramélisée pour les deux ingrédients, tout en s’assurant que le cœur du kaki reste croquant et que celui du manouri reste bien moelleux. Réservez séparément.

- Torréfiez rapidement une petite poignée de graines de sésame dans la poêle ­utilisée pour les kakis.

- Dressez dans une grande assiette en mélangeant kakis et manouri, puis saupoudrez de sésame et de zaatar. Trinquez avec un bon verre de vin, et profitez ! Un vin blanc sec nature bien équilibré se mariera parfaitement avec cette recette… Par exemple, la cuvée Karambolage 2019 en 100 % Elbling nature, du viticulteur allemand Jonas Dostert, dont les vignes se trouvent juste de l’autre côté de la Moselle, à Nittel.