Un virus, trois hackathons pour le combattre. Trois opportunités de pousser de la technologie pour le bien-être de la population. (Photo: Shutterstock)

Un virus, trois hackathons pour le combattre. Trois opportunités de pousser de la technologie pour le bien-être de la population. (Photo: Shutterstock)

C’est la saison des hackathons: après celui organisé par l’État et Luxinnovation, l’Union européenne a aussi lancé le sien, comme Docler Holding. Trois endroits pour «vendre» la même technologie.

Faire et défaire, dit un vieux proverbe, c’est toujours travailler. Mais trois hackathons se cognent, au moins partiellement.

et dont les inscriptions sont ouvertes jusqu’à la fin du mois, l’Union européenne a lancé le sien cette semaine.

 aura lieu du 24 au 26 avril, et les candidatures sont encore ouvertes pour deux jours. Santé, cohésion sociale, travail à distance, finances et business continuity sont quelques-uns des thèmes retenus. À gagner? «Du follow-up et de la reconnaissance», indique le communiqué officiel de la Commission européenne.

Enfin, en collaboration avec Farvest, la House of Startups et Hack Junction, Docler Holding met en place l’édition luxembourgeoise de l’initiative internationale Hack the Crisis qui se tiendra en ligne du 24 au 25 avril.

À l’instar de l’Inde, de la Hongrie ou encore de la Suisse, le Grand-Duché organise également un hackathon afin de créer des solutions couvrant des champs d’action qui pourraient être touchés par la crise actuelle: sauver des vies, sauver l’éducation, sauver les communautés et le lien social, sauver les entreprises et penser à demain. L’inscription est gratuite et se fait par équipe ou individuellement sur .