Fort d’un partenariat de longue durée centré sur les solutions cloud industrielles, Microsoft et BMW renforcent leur alliance en annonçant l’ouverture d’OMP (pour Open Manufacturing Platform). Cette dernière a pour objet de rassembler les industriels du secteur automobile autour de questions communes liées à l’essor de l’IoT (Industrial Internet of Things) et ainsi développer des technologies alliant l’agilité du cloudAzure de Microsoft et le potentiel de production de données des objets connectés et autres senseurs qui peupleront bientôt toutes les usines.
Ça y est, c’est terminé. Google+, le réseau social de la société éponyme, ferme officiellement ses portes depuis ce 2 avril dernier. Il rejoint une longue liste de produits/services abandonnés par la marque, dont plusieurs rien qu’en 2019: Audio Chromecast (11 janvier), Google Fiber (8 février), Android Things (support IoT de l’OS abandonné le 13 février)... ou à venir avec l’annonce de la disparition, d’ici octobre 2019, d’Hangout tel que nous le connaissons (absorbé au profit des fonctionnalités de la G Suite).
Cette longue liste aurait commencé à entacher la réputation de Google. En effet, alors que le géant s’apprête à lancer Stadia, service de video streaming en ligne dédié au marché eSport, les commentaires des internautes tournent régulièrement autour de cette simple question: «peut-on faire confiance à ce service?» ou va-t-il inopinément fermer quelques années après son lancement, laissant sur le carreau tous ceux qui auront eu l’audace d’y croire?
Facebook inciterait certains utilisateurs à communiquer leurs mots de passe de messagerie. La nouvelle se répand sur la toile suite à la publication de screenshots sur Twitter. Sur ces derniers, il est effectivement expliqué que la vérification des adresses email (qui nécessite habituellement de se connecter à sa messagerie pour aller cliquer sur un lien présent dans le mail de vérification émis par Facebook) peut-être automatisée à la condition de céder ses accès au réseau social. Facebook a depuis annoncé la suppression prochaine de cette fonctionnalité prototype et pensée pour faire gagner du temps à ses utilisateurs. Si la société américaine rassure en affirmant n’avoir stocké aucun des mots de passe ainsi collectés, ce genre d’histoire a eu tôt fait de ranimer la crise de confiance qui accable la relation entre Facebook et ses utilisateurs.
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