Qui dit coronavirus, dit inquiétude. Qui dit inquiétude, dit annulations en série. Qui dit personnes infectées, dit restrictions de voyages. La contagion mondiale a, par exemple, «coûté» 80% de réservations en moins en Chine par rapport à l’an dernier. Airbnb, qui avait prévu une introduction en bourse en mars ou en avril, aura bien du mal à rester sur cette stratégie, .
À moins, disent des investisseurs qui préfèrent rester discrets, que le coronavirus soit l’excuse idéale pour maquiller une absence de profitabilité qui aurait pu nuire au spécialiste américain de la location d’hébergement pour de courtes durées de particulier à particulier.
«Même si personne ne connaît l’impact que le coronavirus aura, nous croyons que l’Histoire a montré que quand des disruptions globales surviennent, l’industrie du voyage est revenue dans la course», a assuré un porte-parole d’Airbnb, Nick Papas.