L’affaire avait défrayé la chronique mi-janvier: le média Reporter révélait le en toute illégalité sur le crassier attenant au site d’ArcelorMittal de Differdange.
La ministre de l’Environnement, (Déi Gréng), avait annoncé en commission parlementaire la commande d’une étude d’impact environnemental, financée par ArcelorMittal et menée par un bureau indépendant, afin d’inventorier les matières stockées sur le site à ciel ouvert. Tout en exigeant la mise en conformité du site .
Un nouveau pas a été franchi mardi lors d’une table ronde réunissant le ministère de l’Environnement, les représentants des communes de Sanem et Differdange, ArcelorMittal et également la société Cloos, d’après le Luxemburger Wort. Il a été décidé de former un comité d’accompagnement se réunissant au moins trois fois par an et permettant d’échanger sur les études environnementales en cours.
C’est la partie du crassier dite «Wawerbëch» qui fera l’objet d’une première analyse sur les dépôts entreposés, l’existence ou non d’autorisations légales selon leur nature et leur impact sur l’environnement, comme sur les riverains.