Arthur Bernard est bénévole dans une ONG qui aide les enfants à Madagascar, située à Bruxelles. Il voyage donc entre la capitale belge et la province de Luxembourg, où il habite. (Photo: Arthur Bernard)

Arthur Bernard est bénévole dans une ONG qui aide les enfants à Madagascar, située à Bruxelles. Il voyage donc entre la capitale belge et la province de Luxembourg, où il habite. (Photo: Arthur Bernard)

Votre newsletter Week-end vous invite à découvrir des célibataires qui cherchent l’amour au Luxembourg et autour. Cette semaine, présentation d’Arthur Bernard, pour qui le feeling est plus important que le physique.

Arthur Bernard vit et travaille à la frontière belge comme chauffeur-livreur pour un magasin bio, en attendant d’obtenir son diplôme d’éducateur spécialisé. Cet Arlonais, qui se définit comme discret, bienveillant et sérieux, avec beaucoup d’humour, aime le sport et les découvertes. À la recherche de l’amour, il se révèle en trois questions.

Comment s’est passé ton dernier date?

«Mon dernier date était il y a deux semaines. Je suis du sud de la Belgique, et elle était du Luxembourg. Nous nous sommes rejoints au dernier étage d’un parking ouvert. L’endroit peut paraître bizarre, mais je trouvais l’idée originale, car on avait vraiment une très belle vue. Nous avions mis un peu de musique, puis on a parlé et fait connaissance. C’était très sympa, mais nous n’avons pas recherché à renouveler l’expérience.

Décris-nous l’homme ou la femme de tes rêves…

«Le physique m’importe peu, voire pas du tout. Forcément, il y a des femmes qui m’attirent plus que d’autres, mais en dehors de ça, je ne fais vraiment pas attention au physique. C’est plutôt dans le feeling, la gestuelle, les attentions. Par exemple, je serai beaucoup moins attiré si elle regarde beaucoup son GSM pendant notre date. Je ferai aussi attention à sa manière de s’exprimer, est-ce qu’elle ne parlera que d’elle ou est-ce qu’au contraire, elle ne parlera pas du tout d’elle. Bref, l’attirance et l’envie de se revoir dépendent de plein de petites choses comme ça, pour moi. Donc la femme parfaite est celle chez qui je verrai plein de petites choses positives qui seront naturelles chez elle, mais importantes pour moi.

Où peut-on te croiser?

«Quand je suis au Luxembourg, l’été, j’aime beaucoup aller au lac à Esch et à la piscine à Redange. J’aime aussi me promener et faire les magasins au Cactus. Quand nous y allons en famille, nous aimons manger au restaurant La Pulcinella à Mamer.

Sinon, je suis dans la province du Luxembourg. J’ai le permis – c’est une facilité de ne pas avoir à dépendre des transports en commun. Je collabore avec une ONG qui aide les enfants de Madagascar à améliorer leur qualité de vie, donc je me déplace également là-bas, à Bruxelles. Et je viens de la région liégeoise, donc là-bas aussi, on peut m’y retrouver.»