Elijah Dia, surnommé Eli par ses proches, est nouveau dans la Grande Région. Cela fait quatre mois qu’il a quitté Paris pour venir vivre à Metz et travailler à Étain, dans la Meuse, comme pilote d’hélicoptère pour l’Aviation légère de l’armée de terre (Alat). Il se décrit comme quelqu’un d’«ouvert, calme, ambitieux et patient», joueur de football, amateur de balades et féru de voyages. On le découvre en trois questions.

Comment s’est passé ton dernier date?

Elijah Dia. – «C’était il y a plus de deux mois. Je nourrissais une relation uniquement virtuelle avec une femme, avant de la rencontrer. Nous sommes allés voir ensemble le spectacle de l’humoriste Fary. Nous avons passé une très bonne soirée ensuite, dans un bon restaurant. Malgré tout, ça n’a pas matché, car elle est partie à l’étranger pour le travail. Elle m’a demandé de tout quitter pour la suivre, mais on ne se connaissait pas depuis longtemps, alors je n’ai pas pris ce risque. Cela s’est terminé en bons termes.

Décris-nous la femme de tes rêves…

«Une fille ouverte, qui ne se prend pas trop au sérieux et qui rit de tout. Aventureuse, pas trop casanière. Physiquement, je préfère qu’elle soit petite – je mesure 1,87m. Pour moi, c’est quelque chose de secondaire, il faut un minimum d’attirance, mais j’opterais plus pour le charme, l’osmose, le feeling: des choses rares, de nos jours…

Où peut-on te croiser?

«À Metz, du côté du centre-ville. Il m’arrive de temps en temps d’aller au Luxembourg, car j’ai un collègue, qui devient ami, qui y habite. J’aime bien manger au restaurant grec Athena à Luxembourg-ville, ou dans des restaurants chinois à proximité d’Esch-sur-Alzette.»