Vincent Popoff: «Le Paperjam Club nous permet d’entrer en relation avec les autres acteurs du marché et de continuer à grandir à leurs côtés.» (Photo: DR)

Vincent Popoff: «Le Paperjam Club nous permet d’entrer en relation avec les autres acteurs du marché et de continuer à grandir à leurs côtés.» (Photo: DR)

Le Paperjam Club accueille un nouveau membre: Ama Mundu Technologies. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Vincent Popoff. – «Ama Mundu Technologies développe des solutions innovantes de recyclage écologique et économique de l’eau. Nous préservons cette ressource essentielle en l’inscrivant dans une économie circulaire. Nos solutions s’appuient sur les dernières avancées dans le domaine de la filtration. Les acteurs de la gestion des eaux, les industriels et les promoteurs d’écoquartiers peuvent dès lors revaloriser localement les eaux usées, et ainsi sortir du modèle de l’eau à usage unique, qui n’est plus pertinent.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«À notre échelle, nous contribuons à transformer les modèles de gestion et d’exploitation de cette ressource essentielle qu’est l’eau pour mieux la préserver. Nous pensons toutefois que la transformation de nos modèles en approches plus durables ne pourra se faire qu’avec les autres, en étant bien connectés à notre écosystème socio-économique. Le Paperjam Club nous permet d’entrer en relation avec les autres acteurs du marché et de continuer à grandir à leurs côtés.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Je pense d’abord qu’il y a beaucoup de choses à apprendre du riche programme proposé par le Club. Ensuite, notre volonté est d’aller à la rencontre d’acteurs avec lesquels nous pourrions développer des synergies. En tant que jeune société dynamique, nous souhaitons contribuer à une société plus responsable, en agissant avec les autres. Nous sommes impatients de montrer aux autres membres du Club comment, en adoptant de nouvelles approches, il est possible d’envisager un monde durable.»