Sans vouloir fixer de ligne rouge, Claude Wiseler cite une série de chantiers primordiaux en guise de préalable à une entrée au gouvernement: sécurité sociale, retraites, croissance, éducation nationale, ou encore finances publiques.

Mais la tête de liste nationale du CSV estime que la campagne 2018 va se jouer sur «les problèmes quotidiens de tous les résidents du Luxem­bourg, le logement, la mobilité, les questions du système de santé, comment gérer la croissance… Je ne crois pas qu’elle va se jouer sur des questions de finances publiques, qui sont des sujets extrêmement importants, mais tellement techniques qu’il est difficile de mener une campagne sur ces sujets-là.» 

Retrouvez le grand entretien de Claude Wiseler dans l’édition de septembre/octobre de Paperjam.