Le constructeur de poids lourds Scania travaille activement sur un nouveau concept de camion autonome. Baptisé AXL, l’engin au design futuriste sera équipé d’un moteur thermique et alimenté au biocarburant renouvelable. Il sera contrôlé par un système logistique et équipé de caméras, de radars, de GPS et de rayons laser pour se repérer dans le monde qui l’entoure.
Au premier coup d’œil, on remarque un caractère étonnant dans le design de ce camion: il ne possède pas de cabine conducteur. S’il est vrai que les véhicules autonomes sont difficiles à mettre en place à cause des aléas du trafic ou de l’absence de marquage au sol sur certaines routes, l’AXL a été pensé pour des zones tracées et peu fréquentées comme les sites de carrières ou de mines. Il permettrait donc d’exempter la présence de l’Homme sur des lieux dangereux.
Alors qu’elle a déjà séduit plus de 8 millions de consommateurs en 4 ans, Revolut s’apprête à faire un grand pas en avant. L’entreprise vient d’annoncer son arrivée, d’ici la fin de l’année, sur les marchés américain et singapourien grâce à l’extension d’un partenariat déjà existant avec Visa. D’autres pays comme le Japon et le Canada sont également dans la ligne de mire de la start-up britannique.
«Avec cette politique d’expansion, Revolut devrait pouvoir doubler ou tripler le nombre de ses clients», indique Nikolay Storonsky, CEO de la fintech. Le dirigeant a aussi indiqué à Reuters que le dépôt moyen de ses clients est d’environ 1.000 euros, portant le montant global des dépôts à 8 milliards d’euros. Même si ces sommes sont encore loin des billions affichés par les banques traditionnelles et acteurs historiques du secteur, la néobanque séduit par les outils qu’elle propose (application, outil de gestions des comptes…).
La technologie et l’intelligence artificielle sont aujourd’hui de plus en plus présentes dans les écoles chinoises. Puce RFID intégrée aux uniformes, caméras de surveillance dopée à l’IA… Ce ne sont que quelques exemples de ce qui se pratique dans l’empire du Milieu. Dernière «innovation» en date: un dispositif neuronal capable d’indiquer en temps réel l’état de concentration de son porteur.
Les données captées sont ensuite envoyées en temps réel à l’enseignant, lui permettant ainsi d’adapter son cours en fonction de l’état de concentration général. Pourtant, le neuroscientifique Theodore Zando exprime quelques doutes quant à ce produit. Selon lui, les résultats pourraient aisément être faussés par la manière de porter le casque. Le spécialiste met également en exergue le fait que les données récoltées ne sont en aucun cas protégées, et sont donc susceptibles d’être utilisées par des tiers.
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