Dans ses anciennes fonctions, Sarah Khabirpour a siégé aux conseils de la CSSF, de la BIL, de la Bourse et de LFF. (Photo: archives Paperjam)

Dans ses anciennes fonctions, Sarah Khabirpour a siégé aux conseils de la CSSF, de la BIL, de la Bourse et de LFF. (Photo: archives Paperjam)

Sarah Khabirpour a choisi de voler de ses propres ailes dans l’optique de rejoindre des conseils d’administration en tant qu’administrateur indépendant.

Après le secteur public et la place financière, (44 ans) a souhaité donner une impulsion nouvelle à sa carrière autour des questions de gouvernance et du rôle des conseils d’administration en devenant administratrice indépendante.

«La gouvernance est un sujet qui me semble primordial pour les entreprises au travers du rôle du conseil d’administration», déclare Sarah Khabirpour. «Leur rôle concerne d’ailleurs de nouvelles matières, qui nécessitent de disposer d’administrateurs aux compétences adéquates, qu’il s’agisse de la digitalisation, de la réglementation, ou encore des questions climatiques.»

Ce qui se vérifie pour les entités régulées est aussi vrai dans les entreprises familiales. Un spectre à explorer sur base d’une expérience qui combine à la fois secteur public et privé du côté de Sarah Khabirpour.

Ancien premier conseiller de gouvernement dans le cabinet du ministre des Finances de l’époque, (poste qui lui a permis de siéger aux conseils de la CSSF, de la BIL, de la Bourse et de LFF), ancienne head of strategy, regulatory affairs and marcom à la Banque internationale à Luxembourg, et, depuis le 1er juillet dernier, ancienne chief compliance officer de la Banque de Luxembourg, Sarah Khabirpour s’est également investie dans le parcours de certified director de l’Ila.