Il y a plus de 10 ans que les premiers modèles de lunettes connectées sont sortis. Sans vraiment s’imposer. Des géants cherchent le bon produit. (Photo: Shutterstock)

Il y a plus de 10 ans que les premiers modèles de lunettes connectées sont sortis. Sans vraiment s’imposer. Des géants cherchent le bon produit. (Photo: Shutterstock)

Tous les ans, de nouveaux rapports d’experts prédisent le déferlement de lunettes connectées sur le marché. Cela fait presque 10 ans que ça dure. Trois sérieux clients y travaillent: Apple, Snapchat, et maintenant Facebook, associé à Ray-Ban.

Ne dites pas «lunettes connectées», mais «lunettes informatives électroniques de réalité augmentée sur verres transparents». Il y a 10 ans, c’est comme cela qu’on appelait ces produits qui allaient changer nos vies, en nous permettant de ne plus avoir de téléphones portables.

Dix ans plus tard, les géants y travaillent toujours, avec des difficultés qui se superposent: comment miniaturiser la technologie, comment faire en sorte qu’elle soit assez solide, comment fournir du contenu dans les lunettes qui puisse être agréable à consommer pour le client, comment avoir le son et l’image sur le même appareil.

En mai, , qui durent depuis quatre ans chez Apple. En août, Snapchat avait présenté sa nouvelle génération, les Spectacles, équipés pour permettre des selfies en 3D, à moins de 400 dollars, mais 400 dollars quand même, .

Cette semaine, c’est un autre géant, Facebook, qui a annoncé son partenariat avec Ray-Ban, pour un des deux projets de ce spécialiste des lunettes dont le quartier général a longtemps été au Luxembourg. .