Claude Eyschen: «L’association de CapitalatWork Foyer Group avec Paperjam pour le Top 100 était ce qu’il y a de plus naturel.» (Photo: CapitalatWork Foyer Group)

Claude Eyschen: «L’association de CapitalatWork Foyer Group avec Paperjam pour le Top 100 était ce qu’il y a de plus naturel.» (Photo: CapitalatWork Foyer Group)

La septième édition du Paperjam Top 100 met en avant les décideurs économiques les plus influents du pays. Quelle est votre définition de l’influence?

Claude Eyschen. – «Deux citations sur l’influence qui me parlent: ‘L’influent n’a pas besoin de parler pour qu’on comprenne ce qu’il ou elle veut obtenir’ et ‘L’influent n’a pas besoin d’être présent pour qu’on sente sa présence.’

Pour être influent, il faut donc avoir une vision, du leadership et du charisme.

Pourquoi avez-vous choisi de vous associer à cet événement?

«L’association de CapitalatWork Foyer Group avec Paperjam pour le Top 100 était ce qu’il y a de plus naturel: en tant que groupe 100% luxembourgeois, nous avons toujours été liés intimement à l’économie luxembourgeoise, et proches des décideurs économiques locaux.

À quelques jours de 2019, quelles sont vos prévisions pour votre secteur et l’économie luxembourgeoise?

«Luxembourg, tout en étant une économie dynamique, n’est pas une île: la réduction de la croissance mondiale, les tendances protectionnistes, le Brexit et les tensions au niveau de l’Europe auront un impact sur nous.

La volatilité des marchés financiers, que nous vivons actuellement, continuera aussi à impacter le secteur financier, qui reste un important contributeur au PIB luxembourgeois.

Nous ne croyons pas à une crise immédiate, mais prévoyons un ralentissement de la croissance.»