Projet pour le Royal-Hamilius. (Photo: Dagli Atelier d’architecture)

Projet pour le Royal-Hamilius. (Photo: Dagli Atelier d’architecture)

Madame Dagli, dans quel contexte avez-vous reçu le projet que vous allez présenter lors du 10×6 Architecture?

«Je vais en fait présenter trois projets qui n’ont pas pu aboutir: un projet d’immeuble au Kirchberg, un projet pour le Royal-Hamilius et un projet mixte appelé Scala en Russie. Tous trois ont été conçus dans le cadre de concours.

Quels sont les points forts de ces projets?

«Pour le projet au Kirchberg, les points forts sont le square public à l’intérieur du bâtiment et la façon dont le projet s’ouvre vers l’extérieur. Pour le projet Hamilius, je dirais les places publiques qui auraient valorisé l’espace urbain, et pour le projet Scala, l’intégration et l’adaptation à l’entourage et au bâtiment existant.

Pourquoi, d’après vous, ces projets n’ont-ils pas pu se réaliser?

«Parce que certains des projets sont arrivés en deuxième place et non en première, et pour le projet Scala, la raison est la crise de l’Ukraine et les sanctions envers la Russie.»